« Moi, Julien » Saison 1 Episode 2 : A Voile Et À Vapeur
LUNDI 30 JUILLET
Le sommeil fut agité de rêves érotiques. Faut aussi dire que cétait la canicule sur toute la France et que la chaleur de la nuit narrangeait pas la situation. Elle sonna à ma porte à 10H30. Retour du petit short en jean dhier et arrivée dun petit tee-shirt blanc ravissant et échancré. On descendit sur la plage en bas de la résidence. Nous continuâmes la discussion comme si nous nous nétions pas quittés la veille. Elle aperçut mon regard indiscret lorsquelle se dévêtit mais ne semblât pas sen formaliser. Son bikini lui allait très bien. Javais beaucoup de mal à résister à ne pas tirer sur les deux nuds qui tenaient en place sa culotte mais elle ne perdait rien pour attendre. Serviettes accolées, crème solaire, discussion animée, on na pas vu passer la première heure.
Prétextant la chaleur qui montait je lui proposais de remonter pour aller boire quelque chose de frais. Elle ma répondu quelle devait récupérer les s à 12H30. Un peu moins dune heure, cela devrait faire laffaire me dis-je.
Lascenseur se trainait toujours autant mais cette fois-ci dans le silence. Pas un silence pesant comme cela peut parfois exister mais un silence de connivence entre deux adultes qui savaient ce qui allaient se passer. Ce fut là que jattaquais en mapprochant delle. Nos lèvres se soudèrent dans un baiser endiablé, nos langues virevoltaient, nos corps se collaient lun à lautre. Le bruit des portes qui souvrent nous a rappelé quils nous restaient encore quelques mètres à parcourir.
Ma clé trouva fébrilement la serrure de la porte du studio, et celle-ci à peine refermée, nous reprenions notre bouche à bouche. Je la plaquais contre le mur de lentrée, son short et son tee-shirt volèrent dans la pièce, bientôt rejoint par son soutien-gorge me permettant enfin de découvrir ses deux petites pommes affublées de deux tétons déjà bien érigés, manifestement très sensibles à mes caresses et à ma langue.
Faut pas que je tombe amoureux
Elle me prit la main et me tira vers le lit. Elle me débarrassa de mon short de bain et de mon tee-shirt et me poussa sur le lit. Moi sur le dos, elle dessus. Elle me branla doucement en regardant ma bite, sa main était délicate et douce. Elle voulait me rendre la pareille. Elle se pencha et prit ma bite dans sa bouche, un peu maladroitement et en sarrêtant à mon gland. Je la laissais faire même si parfois je sentais ses dents. On voyait quelle voulait bien faire et jappréciais le geste plus que la technique.
Elle se releva et vint semmancher sur ma queue, non sans avoir au préalable mis un préservatif sorti de je ne sais où. Apparemment cest une habitude à Hossegor de chevaucher les queues. Je nallais pas men plaindre et en plus généralement je dure plus longtemps comme ça. Elle ondulait sur ma bite, les yeux mi-clos, la bouche légèrement entrouverte, le corps arqué. Mes mains hésitaient entre ses seins et ses fesses.
Mais je voulais passer à la vitesse supérieure. Je la décrochais et la retournais sur le ventre. Elle comprit toute seule et releva son cul, la tête posée sur le lit.
Ses halètements mindiquaient que jallais dans la bonne direction. Jai continué à la baiser, une main accrochée à sa fesse, lautre lui caressant la nuque ou lui tenant une épaule ou appuyer sur son dos pour bien la forcer à se cambrer. Nous avons joui ensemble et bruyamment, le cur battant la chamade et nous nous sommes écroulés sur le lit en sueur.
Le temps de reprendre nos esprits, elle a posé la tête sur mon torse pendant que je lui caressais tendrement les cheveux. Ce fût le moment de quelques confidences sur loreiller. Ce nétait pas dans ses habitudes de se donner comme ça au premier venu et elle ne se reconnaissait pas. En me disant cela, je sentais quelle voulait se donner bonne figure. Elle navait pas fait lamour depuis des mois. Elle navait rencontré quun mec depuis son divorce et en plus ça navait pas été terrible. Bref elle en avait très envie et jétais là. Moi ça me convenait très bien.
En voyant lheure, elle cria « merde, les s ». Elle me claqua une bise sur la bouche, remis ses fringues à toute vitesse et sortit en trombe en me disant « à plus ».
Faut pas que je tombe amoureux
Une douche, un déjeuner léger, une sieste bien méritée. Javais besoin de recharger mes batteries. Je suis parti pour la plage naturiste vers 16H dans lidée de me reposer et pas ment dans lidée de faire une rencontre. Il faisait toujours aussi chaud. Je métais placé à la limite entre la plage et la dune, allongé nu sur ma serviette et badigeonné de crème solaire.
Vers 17H sont arrivés deux mecs que jestimais dans la catégorie des jeunes cinquantenaires prenant soin deux. Pas de doute, ils étaient en couple. Et à la vue de leur bronzage ils avaient lhabitude de venir ici. Le plus petit, enfin aussi petit que moi en réalité, cest-à-dire 1m70, était assez fin, petit cul rebondi, quelques poils par ci par là, un sexe au repos tout mignon. Le plus grand, plus costaud, cheveux bruns grisonnant, était plus poilu et un sexe plus épais. Ils mont dévisagé à passant à côté de moi, échangé quelques mots et se sont posés à 5 mètres alors quils avaient toute la plage pour eux. Pas besoin dêtre devin, je navais pas attendu 15 minutes que « petit » venait me demander du feu, me taper la discussion et minviter à les rejoindre à côté deux. Au moins ils savaient ce quils voulaient les deux lascars et je me suis laissé faire.
Petit sappelait Franck. Grand Olivier. Les deux très sympas et avenants. En couple depuis 10 ans. Propriétaire dun restaurant à la mode à Hossegor à côté de lavenue Lahary. Ils mont proposé daller dans un coin plus tranquille. Jai fait « pourquoi pas » en souriant. 2 minutes de marche et ils ont installé ma serviette entre les leurs. Je me suis allongé sur le dos. Et ils ont démarré les hostilités Je dois dire que jai toujours apprécié les plans à trois, cest même comme ça que je me suis fait mon premier mec, enfin mes deux premiers mecs je devrais dire. Jai retrouvé ce mélange des corps, ces mains qui passent et repassent sur ma peau, ces bouches et ces langues qui se partagent ma queue et mes couilles. Ils étaient bons et bien synchrones ces deux-là. Manifestement je nétais pas leur premier gouter.
A mon tour maintenant. Je me suis relevé et je les ai fait sallonger lun à côté de lautre. Leurs sexes étaient fièrement tendus, je passais ma bouche de lun à lautre, mappliquant à leur procurer un maximum de plaisir en les prenant aussi loin que je le pouvais.
Mais le moment daujourdhui nétait pas à la baise, il était aux baisers, à la branlette et à la pipe. On a fini par jouir et comme le premier à venir fut Olivier, Franck et moi nous nous sommes finis également sur son ventre. La quantité de sperme collé à son duvet nous a bien fait rire et a obligé Olivier à courir jusquà la mer pour se laver un minimum. Pendant ce temps-là, Franck ma dit quils avaient tous les deux beaucoup appréciés ce moment et ma proposé de passer ce soir diner à leur restaurant.
Je suis resté somnoler quelques instants sur la plage tandis quils rentraient surveiller louverture de leur restaurant. Puis retour au studio. Jy ai croisé Marion en coup de vent qui partait diner chez des copains avec ses s. Soirée tranquille en perspective. Jen ai profité pour aller diner au fameux restaurant de Franck et Olivier, en espérant ne pas paraître trop collant. Mais bien au contraire, les deux mont accueilli chaleureusement avec forces clins dil. Ils mont même présenté à leur bande : quelques homos, seul ou en couple et quelques couples hétéros. Aux sourires goguenards de la bande, je crois que les deux ont dû leur raconter notre petite aventure de laprès-midi. Lun des copains homo, Alexandre, me faisait du pied. Pourquoi pas, il était pas mal, mais là jétais crevé et la journée avait été longue et fatigante. Je me suis finalement éclipsé pas trop tard et je suis rentré au studio.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!